Le débat qui a animé la Belgique sur la GPA en 2015 posait la question de l’intérêt de légiférer ou non, interdire ou réguler.
Le CEFA, après diverses réflexions sur la Procréation Médicalement Assistée, se pose, comme d’autres associations féministes, la question de l’autonomie des femmes et du respect de leurs droits, notamment de l’impact sur leur santé et leur intégrité physique et morale.