La prolongation de la durée d’exploitation des réacteurs au-delà de leur durée prévue, la multiplication des pannes et des micro fissures détectées, augmentent le risque d’une catastrophe majeure en Belgique. Au-delà des risques immédiats, la planète se dirige vers un épuisement des ressources et vers la fin du pétrole bon marché, et ces ressources risquent de manquer pour le démantèlement, à terme, des centrales.
Le danger du nucléaire : un déni collectif ?