C’est parce que le langage est un puissant moteur de création et perpétuation de représentations que d’une part, il est – et a toujours été – un haut lieu de la lutte féministe, et d’autre part qu’il est justement si difficile à faire évoluer.
Dans cette analyse, nous voyons comment la langue est partie prenante du changement, les mots créent la pensée, et la pensée crée la société.
Le pouvoir des mots : enjeu du féminisme